Didier Petit, Don't explain
Le 20 & 21
mai à l'Atelier du Plateau
5, rue du plateau 75019 Paris
CE QUE DISENT LES PRESSES
CHOC JAZZMAGAZINE /JAZZMAN Huit ans après « Déviation » qui avait fait sensation par sa manière très libre de ne s¹embarrasser d¹aucun diktat esthétique (fût-il d’inspiration libertaire !), le
violoncelliste Didier Petit reprend les choses où il les avait laissées et signe avec ce nouveau disque en solo (enregistré cette fois à Minneapolis), un indiscutable chef-d’Oeuvre. (…) Stephane
Ollivier
MACAO.FR (…) Abstraite mais sensuelle, indéniablement lyrique, cette musique ne peut que séduire, émouvoir toujours, bouleverser souvent. Ce disque me semble exprimer à la perfection la
sensation, sinon la notion de liberté et stimule autant l’intellect qu’il s’adresse à l’affect de l’auditeur. Une Merveille . Pierre Villeret
ELUE CITIZEN JAZZ (…)Si l’on est touché au plus profond par Don’t Explain, c’est parce que Didier Petit a su projeter dans cette œuvre une somme d’émotions qui dessinent un être sensible
parfaitement intelligible. Un être complexe et paradoxal où chacun peut reconnaître son propre reflet, ou celui d’un humain qui nous ressemble comme un frère.
SO JAZZ (…) un musicien pour qui le jazz ne sera jamais une hygiène de vie, mais bel et bien une aventure sensible, des éclats d’âme et de la sensualité. »Don’t explain » pour reprendre le maudit
blues de Billie Holiday dont il nous delivre en conclusion une version hors-norme : la sienne. Jacques Denis
CHOC CLASSICA /REPERTOIR (…) Un violoncelle fantastiquement joué par Didier Petit (…) L’apesanteur d’un large spectre acoustique, où notes et accords –parfois pulsés par la voix- s’étirent et se
précipitent pour mieux retenir l’écoute. Improvisation ? Non, paroles d’après le silence (…) Les poissons d’or de Franck Mallet
LES ALLUMES DU JAZZ (…) On se fait alors enlever et on se laisse bercer par « une musique singulière qui écoute le monde » Mêlant le souvenir à l’instant. (…) On en revient transporté, mais don’t
explain … (valérie Crinière)
LES INROCKUPTIBLES (…) On trouve beaucoup de concentration et quelques gestes impétueux, des fragments de mélodies rivalisant de présence avec des morceaux d’abstraction, des audaces
instrumentales rattrapées quelquefois par une voix qui transforme en chansons minuscules les airs d’un folklore imaginaire lentement révélé. Don’t explain est un disque à écouter avant tout,
puisqu’il y a des choses qui ne s’expliquent pas. Guillaume Belhomme
LE SON DU GRISLI (…) Il y a le délestement du temps, l’insécurité de l’instant, le danger des destinations. Il y a les voyages, les personnes aimées, la mémoire et les futurs à venir. D’autres
suites, d’autres faces ? Contentons-nous de celles-ci, si profondément poignantes, si profondément humaines. (Luc Bouquet)
MOUVEMENT (…) lyrisme flamboyant, engagement total du corps musicien et irruption des mots, du chant, quand le désir d’expression excède la musique (…) Le violoncelliste a concocté une bombe qui
fait sauter barrières et conventions ; alliages de timbres somptueux, hachures de l’espace à l’archet, bruitismes insolites, crépitations rythmiques, surgissements magiques d’une mélodie. Musique
en liberté. Une musique parfois zébrée d’une belle énergie rock à la force mélodique d’une grande amplitude, animée par les joies de l’improvisation, de la composition instantanée comme des
vertiges des formes et des couleurs déployées. Franck Medioni
http://www.facebook.com/l/ee977;PINKUSHION.COM (…) Trois faces pour un seul homme, et une myriade de sons échappés de cette « pratique païenne » étourdissante, de ce corps à corps avec son
homologue tout de bois vêtu, tantôt frotté, frappé, chanté, enserré, relâché. (…)Trois faces improvisées du bout desquelles s’agitent des fantômes, résonne, inaltérable, le chant de Billie
Holiday lors d’un ultime pas de deux. Une danse à trois, avec style. Juste sublime.
TEMPO (…) la musique de Didier Petit n’appartient qu’à lui et il vous appartient de vous l’approprier. L’objet est magnifique et la musique est inhabituelle et voyageuse.
LES IMMORTELLES . COM (…) A l’inverse de beaucoup d’œuvres qui en distribuant du ressassé prétendent à l’originalité pure, cette dernière est ici évidente. Tout se déplace à travers des liens que
l’auditeur ne soupçonne pas forcément. Il n’empêche qu’il entre de plain pied dans cet ovni musical improbable construit sur des modes inhabituels de fonctionnement. (…) L’écoute de Don’t Explain
permet de jouer avec le temps. De le prendre afin de s’imprégner d’un univers complexe et simple à la fois. Un univers qui nous parle et nous apporte un supplément de sensations auditives. Cet
opus sort le violoncelle de son aspect aristocratique et prouve ce dont l’instrument est capable. L’artiste le fait palpiter au rythme du corps, de ses sensations et de ses sensations. Il secoue
les limites des genres tels que le jazz, le néo-contemporain, la musique lyrique abstraite ou improvisée, que sais-je encore.